Laïcs Missionnaries Comboniens

Campagne sur les effets néfastes de l’activité minière sur la santé et l’environnement

Piquia
Piquia

Aujourd’hui, 29 octobre, la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), en collaboration avec Justiça nos Trilhos (Justice sur les rails), a lancé une campagne pour alerter les citoyens du monde qui consomment inconsciemment les produits des entreprises minières et sidérurgiques qui, depuis plus de trois décennies, détériorent la santé et polluent l’environnement de la communauté de Piquiá de Baixo, en Amazonie brésilienne.

La campagne marque le 30e anniversaire du Grupo Ferroeste dans la municipalité d’Açailândia et invite tout le monde à soutenir la lutte pour les droits de cette communauté, à laquelle les entreprises et l’État ont fermé les yeux pendant si longtemps.

Pour en savoir plus : https://bit.ly/3kFKur8

Le nouvel engagement officiel des Laïcs missionnaires Comboniens de RDC

LMC Congo
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Depuis avril 2018 c’est la troisième fois que les Laïcs Missionnaires Comboniens s’engagent pour la mission ad gentes et ad vitam dans le mouvement international des Laïcs missionnaires Comboniens.

Ce sont six(6) : Flory SEZABO, Paulin KUVULA, Guy SINYEMBO KALENGE, Fabienne EKENGE ALENGO, Christian NSONA y Cécile WAMBA, qui ont décidé librement et volontairement de s’engager devant Dieu et devant l’assemblée chrétienne ce dimanche 11 octobre 2020 en   la paroisse Saint Jean Paul II tenue par les Missionnaires Comboniens.

« Allez, vous aussi à ma vigne » (Mt. 20, 3-4). « Les fidèles laïcs sont appelés, eux aussi, personnellement par le Seigneur, de qui ils reçoivent une mission pour l’Église et pour le monde ».

Tous les laïcs sont missionnaires en vertu de leur baptême en se référant aux paroles à travers lesquelles Jésus Christ, Crucifié et Ressuscité, avant de monter au ciel, confia aux Apôtres le mandat missionnaire : « Allez, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, leur apprenant à observer tout ce que, je vous ai prescrit », ne cessent en effet de résonner, comme un appel universel et un appel ardent.

Le laïcat combonien s’accroit au fil du temps, la Province a procédé, pour la troisième fois, à  l’engagement définitif de 6 membres et cela, au cours de la célébration Eucharistique présidée par son Aumônier, Père NGORE GALI Célestin, mccj et animée par la Chorale afriquespoir des Laïcs Missionnaires Comboniens, en date du 11 octobre 2020.

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Après leur prononce de la formule d’engagement devant l’autel le père aumônier leur avait remis la croix signe de la suite du Christ. Jésus est mort crucifié, cloué sur une croix. Pour les chrétiens, la croix est le symbole de la mort et de la résurrection du Christ. Pour Comboni aussi les souffrances représentent la croix : «Nous devrons nous fatiguer, transpirer, mourir; mais la pensée qu’on transpire et qu’on meurt par amour de Jésus-Christ et du salut des âmes les plus abandonnées du monde est trop douce pour nous faire désister de cette grande entreprise». C’est le signe du salut que Dieu offre à toute l’humanité. Et les Écrits de Comboni, signe de leur appartenance à la famille combonienne d’une manière définitive.

Dans l’élan d’animation missionnaire, après avoir organisé son 2ième Assemblée Provinciale, en décembre 2019, la Province s’attèle à tenir, en novembre 2020 prochain, son vingtième Congrès, avec les autres Cénacles de Prière Missionnaire de spiritualité.

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En bref, les activités d’engagement pour la création et la promotion des Cénacles de Prière missionnaire (CPM) et autre se déroulent normalement. Ainsi que, la réalisation de la Mission ad gentes, de ce fait, nous signalons qu’il y deux membres dont l’un venait d’effectuer sa mission au Centrafrique et l’autre le fait localement dans un orphelinat.

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Chargé de Communication :  Gabriel MANIMA MPELA

Ministerialité: une approche à partir de la richesse sémantique des textes bibliques

La Palabra
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Introduction

Cet article veut être une contribution simple et brève au processus de réflexion et de partage autour du thème de la ministérialité, à partir des textes bibliques. Etant donné que le substantif abstrait “ministérialité” n’apparaît pas dans les textes sacrés, notre approche se fonde sur la pluralité sémantique du terme ministre. Il est important de souligner tout de suite que notre étude ne veut pas prendre tous les termes bibliques correspondants à “ministre”, ni approfondir les soi-disant ministères bibliques, tels que prêtre, roi, prophète, apôtres, évangélistes, pasteurs, docteurs. Nous nous bornerons donc à affronter quelques éléments théologiques-linguistiques liés aux termes pour partager, dans un deuxième moment, à titre de conclusion, une courte réflexion et quelques questions en vue d’un éventuel approfondissement du thème.

1. Vision générale des termes bibliques équivalents de ministre

1.1 Dans l’Ancien Testament

1.1.1 MESHARET

La racine de ce terme hébreu indique toute sorte de service. Dans le contexte de notre thème, mérite d’être souligné le service de Josué à Moïse en Ex 24, 13 ; 33, 11, Nb 11, 28 et Js 1, 1. Dans ces textes, MESHARET signifie ministre, auxiliaire direct, disciple. Moïse en effet conduisait Josué dans ses rencontres avec Dieu sur la montagne et dans la tente. Le ministère de Josué consistait à aider Moïse pour comprendre le message de Dieu pour le transmettre ensuite au peuple. Ce qui est intéressant dans ces textes bibliques c’est qu’être ministre est une phase de préparation pour devenir ensuite un guide, c’est-à-dire un vrai disciple. Pour cela, MESHARET renvoie au thème du rapport disciple-maître, du savoir apprendre pour continuer une mission ou un ministère. De ce point de vue, l’idée de MESHARET nous transmet la pensée que dans le rapport disciple-maître, le disciple apprend non seulement de son maître mais aussi de la réalité. Ce qui signifie que la réalité aussi nous enseigne. Pour cela le ministre est en même temps un disciple du Seigneur et de la réalité.

1.1.2 EBED

Un autre terme utilisé dans l’Ancien Testament pour désigner un ministre est EBED. Ce terme indique non seulement le service commun de toute personne subordonnée à un patron, comme c’est le cas de Naaman (2 Roi 5, 6), mais aussi la subordination aux desseins de Dieu, comme c’est le cas du serviteur de Dieu (EBED ADONAI ou EBED HAELOHIM) dans Is 42, 1-4 ; 49, 1-6 ; 50, 4-9 ; 52, 13-15 ; 53, 1-12. Même si les experts ne concordent pas sur l’identité historique du EBED ADONAI, les textes montrent clairement que la soumission aux plans de Dieu est la condition pour réaliser la mission reçue.

1.2 Dans le Nouveau Testament

Pour ce qui concerne le Nouveau Testament (NT), les termes suivants méritent d’être mis en relief :

1.2.1 PAIS/DOULOS

Dans le sens commun du terme, PAIS signifie “enfant”. En Mt 12, 18, cependant, on cite la version grecque d’Is 42, 1 dans laquelle le terme PAIS traduit le sens hébreu d’EBED (serviteur), pour indiquer que Jésus est le Serviteur de Dieu. Avec la même intuition, dans le portique de Jérusalem, après la Pentecôte, Pierre déclare pour la première fois que Jésus est le Serviteur de Dieu (Ac 3, 13). En fait, Pierre a été tellement marqué par l’image de Jésus le Serviteur qu’elle est devenue un point de référence pour sa première prédication après la Pentecôte. Ainsi, il présente l’image de Jésus le Serviteur comme un paradigme pour tout type de service dans l’Église naissante. La preuve en est la transposition sémantique que le NT opère entre les termes PAIS (enfant, serviteur) et DOULOS (esclave, serviteur). Soyons attentifs : s’adressant aux apôtres en Jn 15, 15, Jésus qualifie sa relation avec eux de relation d’amitié et non de servitude ou d’esclavage. De plus, le terme DOULOS (serviteur) continuera à caractériser la mission des disciples. En fait, Jésus recommande que les relations interpersonnelles soient marquées par les attitudes et les sentiments du serviteur, qui doivent être adoptés par quiconque veut être grand dans le Royaume des Cieux (Mt 20, 27 ; Mc 10, 44). Il faut également noter que DOULOS est le titre sous lequel Paul se présente à ses communautés (Rm 1, 1 ; 2 Co 4, 5 ; Ga 1, 10 ; Ep 6, 6 ; Ph 1, 1 ; Tt 1,1). Certains chrétiens sont appelés serviteurs (DOULOI) dans Col 4, 12 ; 2 Tm 2, 14 ; Jc 1, 1. Pierre, Judas et toute l’Église sont des serviteurs (DOULOI) du Christ selon 2 P 1, 1 ; Jd 1, 1 ; Ap 1, 1. On voit ainsi que les termes PAIS et DOULOS deviennent synonymes et que Jésus le Serviteur apparaît comme le seul paradigme dans l’exercice des ministères.

1.2.2 LEITOURGOS

De ce terme, trois significations méritent une attention particulière :

  1. indique les serviteurs et les administrateurs publics, qui sont appelés serviteurs de Dieu parce qu’ils accomplissent avec zèle leurs tâches (Rm 13, 6). Le chrétien doit leur être soumis et il doit prier pour eux, pour avoir une vie tranquille, pacifique, pieuse et honnête (2 Tm 2,2).
  2. Celui qui annonce l’Évangile de Jésus-Christ à ceux qui ne le connaissent pas, afin qu’il devienne une offrande qui lui soit agréable, est aussi appelé LEITOURGOS (Rm 15, 16).
  3. Le terme est également appliqué à Jésus pour indiquer son ministère de médiateur entre Dieu et les hommes (He 8, 2). Il est également intéressant de noter que dans le NT, avec ce terme, le ministère du fonctionnaire est assimilé à celui de l’évangélisateur, car tous deux, inspirés par Jésus le médiateur, servent le même Dieu. Comme nous venons de le dire, s’inspirer de Jésus médiateur, c’est assumer et réaliser, à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église, la dimension sacerdotale des ministères. Tous les ministères, en effet, sans exception, ont une dimension sacerdotale, c’est-à-dire la médiation entre le Créateur et la création.

1.2.3 HYPĒRETES

Pour ce qui concerne le terme HYPĒRETES, nous trouvons seulement la signification de “ministre de la Parole” (Lc 1, 2 ; Ac 26, 16). Dans ces textes, l’expérience du Christ apparaît comme une condition nécessaire pour l’exercice du ministère. Il suffit de voir que les “serviteurs de la Parole”, nommés par Lc 1, 2, sont des témoins oculaires. Saul, en Ac 26, 16, est constitué serviteur et témoin de ce qu’il venait de voir et de ce que le Seigneur devait encore lui révéler. De ces passages émerge l’idée que les ministères naissent de l’expérience du Christ et se nourrissent de celle-ci.

1.2.4 DIAKONOS

Voilà un terme abondamment utilisé dans le NT, mais dans des contextes et avec des significations différentes. Fondamentalement, il est utile de souligner ce qui suit : DIAKONOS est la personne qui reçoit la mission de servir l’Eglise. Etienne et ses amis le sont parce qu’ils s’occupent des œuvres de charité de la communauté (Ac 6, 1-6) ; Paul et Apollos, tout en travaillant inlassablement dans l’évangélisation, préfèrent être considérés simplement des diacres (DIAKONOI) de l’Église (1 Co 3, 5-15) ; Tichique (Ep 6, 21), Epaphras (Col 1, 7) et Timothée (1 Tm 3, 2) sont des DIAKONOI parce qu’ils collaborent plus directement dans l’évangélisation. Jésus Christ aussi est un DIAKONOS parce qu’il n’est pas venu pour être servi mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude (Mt 28, 28 ; Mc 10, 45 ; Rm 15, 8). L’assistance de ceux qui sont dans le besoin est considérée non seulement une DIAKONIA (ministère, service) mais une condition nécessaire pour avoir part dans le Royaume des cieux (Mt 25, 31-46). En particulier, il est important de souligner les textes à propos de l’infériorité du DIAKONOS : Lc 12, 37 e 22, 26-27. Le DIAKONOS est inférieur à Dieu et au peuple qui lui est confié. Il semble en effet que celle-ci soit une caractéristique importante des ministères dans les premières communautés chrétiennes.

1.2.5 OIKONOMOS

OIKONOMOS est l’intendant qui s’occupe des biens de son maître. Il est à noter que dans la tradition paulinienne et pétrinienne, les apôtres et tous les chrétiens sont appelés OIKONOMOI parce qu’ils administrent les mystères et les grâces de Dieu (1 Co 4, 1-2 ; 1 P 4, 10). Le symbolisme de l’administrateur de la maison est vraiment évocateur, car il insiste sur le devoir de chaque chrétien d’avoir un ministère. Ainsi, les ministères sont considérés comme une forme d’administration de l’OIKOS (habitation, maison) de Dieu (1 Co 3, 5-9).

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2. Réflexion

La richesse sémantique dont nous avons parlé ne doit pas être considérée comme un simple raffinement linguistique des auteurs bibliques, mais comme une preuve évidente de la diversité des expériences de ministère parmi le peuple d’Israël et dans les premières communautés chrétiennes. De même, cette richesse sémantique nous sert de base et d’inspiration pour la contextualisation continue des ministères.

2.1 Diversité des expériences ministérielles

De ce qui a été dit ci-dessus, il ressort que les diverses expériences de ministérialité rapportées dans les textes sacrés intéressent les hagiographes pour présenter, à travers elles, Dieu qui suscite des ministères pour le service de sa maison. Rappelons que dans le NT, la maison de Dieu (OIKOS TOU THEOU) désigne, au sens strict, l’Église du Christ (1 Tm 3, 15 ; He 3, 6) et, au sens large, l’univers entier (Ac 7, 44-50). La complexité inhérente aux concepts démontre l’importance d’approfondir non seulement la signification de l’expression “maison de Dieu”, mais aussi les ministères qui sont tenus de l’administrer pleinement. La maison de Dieu est si complexe qu’elle ne peut être administrée sans un large éventail de ministères. Il est donc urgent de stimuler la naissance de nouveaux ministères au sein et en dehors de l’Église. En ce sens, les Comboniens sont appelés à animer ce processus, qui apparaît aujourd’hui plus que jamais comme une condition sine qua non pour l’évangélisation du monde contemporain.

2.2 La contextualisation des ministères

Les différentes expériences de ministérialité dans la Bible s’accompagnent d’un processus de contextualisation, c’est-à-dire d’adaptation des ministères à un contexte donné. Pour les Comboniens, la contextualisation implique deux processus intrinsèquement interdépendants : le processus ad intra et le processus ad extra. Ad intra parce qu’il exige que les ministères et les engagements missionnaires soient repensés à la lumière de la réalité interne de l’Institut (nombre de confrères, formation académique, géographie vocationnelle, situation économique, etc.). Ad extra parce qu’il nous met devant le défi d’identifier, dans le contexte dans lequel nous travaillons, les personnes, les moyens et les méthodes pour favoriser l’émergence de nouveaux ministères ou la mise à jour de ceux qui existent déjà avec et à partir de ceux-ci. Ces deux processus exigent du réalisme, du courage et de l’optimisme. Il convient de noter que, dans le processus de contextualisation des ministères, pris individuellement et en groupe, la lecture contextualisée de l’Écriture Sainte joue un rôle irremplaçable. Pour cette raison, il est essentiel de réapprendre à lire la Bible à partir du contexte du destinataire contemporain. Ce n’est que de cette manière qu’il sera possible d’identifier les ministères les plus appropriés pour chaque réalité.

3. Questions pour un approfondissement

a) Quelle est cette “infériorité du ministre” appliquée au missionnaire combonien ?

b) Ressentons-nous aujourd’hui le besoin de nouveaux ministères dans l’Église et l’Institut ? Lesquelles ?

c) La maison de Dieu est immense et complexe. Comment peut-on l’administrer pleinement ?

d) Avons-nous pu contextualiser le charisme combonien et les ministères qui lui sont liés ?

e) Avons-nous pu contextualiser notre herméneutique des textes bibliques afin de susciter des ministères adaptés à la réalité ? Quelles difficultés avons-nous rencontrées ?

Bibliographie conseillée

COLLINS, J.N. (2014). Diakonia Studies: Critical Issues in Ministry. Oxford: Oxford University Press.

COMISSÃO Teológica Internacional. (2002). Da Diaconia de Cristo à Diaconia dos Apóstolos.

GUIJARRO, S. (2017). La Aportación del Análisis Contextual a la Exégesis de los Textos Bíblicos. Cuestiones Teológicas, 44 (102), 283-300.

KING, N. (2019). Ministry in the New Testament. New Blackfriars, 100 (1086), 155-164.

MĂCELARU, M.V. (2011). Discipleship in the Old Testament and Its Context: A Phenomenological Approach. Pleroma, 13 (2), 11-22.

P. José Joaquim L. Pedro, mccj

Livre: Nous sommes mission

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“La création elle-même attend avec impatience la révélation des enfants de Dieu” (Rom. 8,19)

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Très chères sœurs Très chers frères Au nom de notre Seigneur Jésus, nous vous saluons cordialement !

Comme vous vous en souvenez bien, il y a environ deux ans, un premier volume avait été publié, intitulé : « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde », où ont été rassemblées les idées qui nous animent et nous guident d’une manière particulière dans les voies inhérentes à JPIC. Ces parcours ont également été rendus possibles par la rencontre entre les Forums sociaux mondiaux (FSM) et les Forums organisés en tant que Famille Combonienne en même temps que les FSM. Au cours des 150 ans d’histoire et de vie, nos Instituts se sont enrichis d’une grande expérience ministérielle grâce surtout au dévouement de très nombreux missionnaires hommes et femmes qui ont interprété la spécificité de notre Charisme avec créativité et passion apostolique.

Ce deuxième volume intitulé : « Nous sommes mission : témoins de la ministérialité sociale dans la famille combonienne », présente un éventail significatif d’expériences ministérielles concrètes. Notre souhait est que le partage de ces expériences, choisies parmi tant d’autres, nous aide tout d’abord à valoriser ce que nous faisons déjà, grâce au Don de l’Esprit Saint et à nos réponses personnelles et communautaires. De plus, cette pluralité d’expériences partagées nous aide à apprécier les différentes actions ministérielles comboniennes qui se complètent et s’enrichissent mutuellement, révélant la richesse du Charisme dans un dynamisme croissant.

Nous demandons à nos Supérieurs provinciaux de prendre soin de distribuer des exemplaires imprimés de ce deuxième volume à toutes les communautés, ainsi que la copie numérique en quatre langues, afin que tous et chacun puissent apprécier le travail réalisé ensemble et en collaboration avec plus de 40 confrères et consœurs comboniens.

Nous tenons à remercier les membres de la Commission de la Ministérialité Sociale de la Famille Combonienne qui ont travaillé avec passion et compétence à la réalisation de ce deuxième volume et à la cartographie de notre présence combonienne des ministères sociaux dans le monde. En décembre 2020, si le Covid-19 le permet, le Forum sur la ministérialité sociale aura lieu à Rome.

Ces initiatives et activités font partie d’un grand chemin de synergie et de collaboration entre les membres de la Commission et de nombreux confrères et consœurs, qui apportera certainement de l’enthousiasme et de l’ouverture à la nouveauté vers laquelle le Seigneur nous guide. Tout cela demande, cependant, de la part de toute la Famille Combonienne une grande ouverture de cœur, d’esprit, de créativité et d’engagement que nous confions à l’intercession de notre grand fondateur, Saint Daniel Comboni.

Marie, Femme de l’Evangile, apprends-nous à annoncer ton Fils Jésus dans notre engagement ministériel !

Sr. Luigia Coccia, smc                        P. Tesfaye Tadesse, mccj

Vous pouvez télécharger le livre en suivant ce lien